VICTIMES POLICIERES


Ne pas utiliser l’option « mains libres » à l’intérieur du musée.

 

Les membres des Corps et des Forces de sécurité ont été indispensables pour combattre le terrorisme, mais ont également payé un prix élevé. Ce sont ceux qui accumulent le plus grand nombre de victimes. Les hommes en uniforme étaient les objectifs de prédilection des terroristes.

La vitrine sert d’hommage aux gendarmes, policiers nationaux ou basques décédés. Elle est composée par des pièces données par leurs familles et ont donc une grande valeur sentimentale. Le tricorne et le drapeau de l’Espagne qui a couvert le cercueil d’Antonio Trujillo, assassiné par l’organisation ETA ; les cartes professionnelles de plusieurs victimes policières ; ou l’uniforme du policier basque Jorge Díez Elorza, qui escortait le politicien socialiste, Fernando Buesa, lorsque les deux ont été assassinés à Vitoria en 2000.

Si pour les terroristes et leurs acolytes, les agents de la loi ne sont rien de plus qu’un uniforme dans lequel ils projettent tout ce qu’ils détestent, nous tentons ici de leur rendre leur aspect humain et leur dignité.